28 octobre 2014 2 28 /10 /octobre /2014 15:26
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7 octobre 2014 2 07 /10 /octobre /2014 12:37

Internationalnews

LeGrandSoir 7 septembre 2014


Dormez, braves gens, ils vendent les bijoux du pays...

Dans la ligne qui fut celle de Lionel Jospin, François Hollande poursuit donc la liquidation des bijoux de la France

Titre original: Avis aux intéressés
Par Mauris DWAABALA

Mardi, le gouvernement a annoncé la vente pour 4 milliards d’euros de ses participations dans des grandes entreprises françaises.

 

Pour rappel, L’État détient actuellement des parts dans 74 entreprises, comme la SNCF, Air France, Orange ou encore Renault. La valeur totale de ses participations dépasserait 110 milliards d’euros, dont 85 milliards pour les seules entreprises cotées en Bourse (hors PSA Peugeot Citroën). Elles ont rapporté à l’État 4,4 milliards d’euros de dividendes, pour un chiffre d’affaires de 145 milliards. Avec plus de 3 milliards d’euros, c’est le secteur énergétique, par le biais d’EDF et GDF Suez, qui reverse le plus de dividendes à l’État, suivi des industries de défense avec 267 millions d’euros.

 

L’explication de cette manœuvre de revente de parts est simple : pour tenir ses engagements d’économies, de réduction de la dette et d’équilibre budgétaire promis dans le cadre européen, l’État gratte dans tous les coins pour que ça rapporte tout de suite. Un gouvernement qui vend au privé les actions qu’il détient chez les opérateurs publics, c’est un gouvernement de droite.

 

D’ailleurs, depuis début septembre, l’Agence des participations de l’État (APE), qui gère les actifs publics détenus dans des entreprises, a été confiée à Régis Turrini, un énarque de la promotion 1989, ex « dealmaker » de chez Vivendi qui ne compte qu’en milliards. L’homme doit aller vite pour aligner les zéros et ne pas ternir son CV.

 

Le gouvernement escompte donc céder au privé pour 4 milliards d’euros de participations publiques dans le capital d’entreprises. Quatre milliards d’euros pour une stratégie de gains à court terme qui semblait réservée aux traders.

 

Le gouvernement socialiste en fait désormais un nerf de la guerre budgétaire, quitte à se priver définitivement d’une partie des dividendes que la détention de ces parts procure à l’État : 4,2 milliards de revenus en 2013, 3,8 milliards en 2014

 

Dans la ligne qui fut celle de Lionel Jospin, François Hollande poursuit donc la liquidation des bijoux de la France. Mieux que des bijoux d’ailleurs, puisque ceux-ci rapportent.

 

En effet, La dernière grande vague n’est autre que celle opérée par le gouvernement Jospin (1997-2002) qui a ouvert le capital de France-Télécom et celui d’Air-France, privatisé Thomson-Multimédia, le GAN et la CNP dans les assurances, la Société marseillaise de crédit, RMC, le Crédit Lyonnais, Aérospatiale-Matra, pour un montant de 31 milliards d’euros, soit 5 milliards de plus que sous les gouvernements de Juppé et Balladur réunis.

 

À partir de 2012, le gouvernement de Jean-Marc Ayrault procède à différentes privatisations partielles :


Mars 2013 : cession de 3,12 % du capital de Safran, ce qui a rapporté 448,5 millions d’euros à l’État qui détient encore 27,08 % du capital.


Avril 2013 : cession de 3,66 % du capital d’EADS, ce qui a rapporté 1,2 milliard d’euros à l’État qui s’est engagé à céder encore 0,4 à 0,5 % du capital.


Avril 2013 : Arnaud Montebourg (eh ! oui) se déclare en faveur de baisse de la participation de l’État dans certaines entreprises et évoque en particulier, sans les citer, EDF et GDF Suez.


Mai 2013 : Jean-Marc Ayrault envisage une baisse du taux de participation de l’État dans le capital de certaines entreprises.


Juin 2013 : l’État cède 9,5 % du capital Aéroports de Paris pour 738 millions d’euros.
Novembre 2013 : cession de 4,7 % du capital de Safran, pour environ 900 millions d’euros. L’État détient désormais 22,4 % du capital.


Janvier 2014 : cession de 1% du capital d’Airbus Group, anciennement EADS, pour environ 450 millions d’euros.


Aujourd’hui, il s’agirait de la Française Des Jeux, d’Orange, de Rungis...


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Source: Ficanas

 

Il faut noter de plus que lorsque l’État reste actionnaire, il ne cherche pas à influer sur la stratégie de l’entreprise. Pourtant, avec une participation comprise entre 30 et 40 %, son poids demeure déterminant, surtout si sa participation au capital est importante par rapport au « flottant ». Et même lorsque la part de l’État au capital passe en dessous de 30 % – par exemple, pour Air France-KLM (15,88 %), Renault (15,2 %) ou Orange (13,57 %) , et qu’il perd la maîtrise des décisions du conseil d’administration, en tant qu’actionnaire de référence, il devrait néanmoins constituer un interlocuteur incontournable dans des secteurs stratégiques : énergie, transports, défense, télécoms...

 

Or, bien souvent, les représentants de l’État qui siègent parfois nombreux dans les conseils d’administration restent passifs.

 

Bref, jeudi, toute la journée, les Bourses se sont agitées sur les titres de ces entreprises dont l’État veut se débarrasser.


 

Les emphases sont d'IN

 

Rapport 2013:

http://www.economie.gouv.fr/files/files/directions_services/agence-participations-etat/Documents/Rapports-de-l-Etat-actionnaire/2013/RA_APE_complet.pdf


Url de cet article:

http://www.internationalnews.fr/article-grande-braderie-le-gouvernement-socialiste-vend-pour-4-milliards-d-euros-de-ses-participations-da-124735834.html

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17 septembre 2014 3 17 /09 /septembre /2014 13:35

Internationalnews

Le Grand Soir 13 septembre 2014

Si le taux de pauvreté a légèrement reculé en 2012, le niveau de pauvreté s’intensifie dans un contexte de baisse globale du niveau de vie en France.


En 2012, 8,5 millions de personnes vivaient en dessous du seuil de pauvreté annonce l’Insee. C’est 200.000 de moins qu’en 2011, mais l’explication est en partie mécanique. Le seuil de pauvreté est ainsi fixé par convention à 60% du niveau de vie médian de la population, ce qui s’élève pour 2012 à 987 euros par mois. Et ce niveau médian a baissé lui-même de 1 %, à 1.645 euros par mois. Car en réalité, s’il y a un peu moins de pauvres statistiquement définis en France, ils sont de plus en plus pauvres. Ainsi la moitié des personnes vivant sous ce seuil de pauvreté disposent de moins de 784 euros par mois soit, en euros constants, un niveau qui n’a jamais été aussi bas depuis 2006.


L’intensité de la pauvreté "augmente donc nettement", souligne l’Insee : les personnes pauvres sont globalement plus éloignées du seuil de pauvreté. La composition de la population la moins favorisée se modifie d’ailleurs un peu puisque parmi les adultes pauvres, la part des chômeurs augmente.


Les familles monoparentales sont particulièrement touchées par la pauvreté : leur part dans la population pauvre passe ainsi de 20,6% en 2011 à 22,3% en 2012. Leur niveau d’activité moyen diminue de 5,0%, si bien que "la pauvreté s’accroît fortement parmi les mères de familles monoparentales", relève l’Insee. Le nombre de retraités pauvres à l’inverse baisse.

 

Ce qui s’explique par la très légère hausse des pensions en 2012, qui rapportée à la baisse générale du niveau de vie, en a fait sortir plusieurs du fameux seuil statistique. La baisse globale du niveau de vie se ressent chez les ménages aisés, touchés par les augmentations d’impôts, mais surtout chez les plus pauvres. La hausse du chômage, la stagnation des prestations sociales alors que les prix continuent à augmenter ont sérieusement touché les plus fragiles.


L’Insee est conscient des limites de ce seuil statistique, même s’il se révèle éclairant. Par exemple, il faut ajouter à ce nombre environ 500.000 pauvres en France non recensés, puisque vivants dans la rue, en prison ou en maison de retraite. Et les SDF sont environ 150.000 en France, en augmentation de 50 % en 10 ans. Autre limite, cet indice ne fait pas de différenciation entre les propriétaires et les locataires dans le calcul du niveau de vie. En étant conscient de ces limites, ce seuil reste néanmoins utile pour suivre les évolutions dans le temps et comparer les pays européens entre eux..


EN COMPLEMENT

 Pauvreté, miroir des échecs politiques

 

Méfions-nous de certains chiffres. Et plus encore de leur éventuelle interprétation. Selon des statistiques publiées hier par l’Insee, la pauvreté toucherait légèrement moins de Français. Il y aurait tout lieu de croire que la situation s’améliore.

 

Grave erreur ! Cette statistique n’est qu’un trompe-l’œil. Entre 2008 et 2011, près d’un million de personnes supplémentaires étaient passées en dessous du seuil de pauvreté. Si cette tendance a subi une «  pause  » en 2012, les auteurs du rapport ne cachent pas que la pauvreté «  gagne en intensité  », d’autant que le niveau de vie médian a, une nouvelle fois, baissé de 1 %. Les plus pauvres sont de plus en plus pauvres ; les plus riches, de plus en plus riches. Quant au principal chiffre, il donne le vertige : 8,5 millions de Français, près de 14 % de la population, vivaient avec moins de 987 euros par mois en 2012.


Comment ne pas croire que, depuis, cette situation s’est encore aggravée? Résumons donc la réalité d’une simple formule : la majorité des Français continue de s’appauvrir, dans des proportions qui signent l’état d’urgence absolue. Car la pauvreté n’est rien d’autre que le cruel miroir des échecs politiques de nos gouvernants.

 

Avec le morcellement du travail, la précarité salariale et la multiplication des formes «  atypiques  » d’emploi, chacun peut constater que le recul du pouvoir d’achat frappe dans la masse, et d’abord les plus faibles. Sans oublier bien sûr l’explosion du chômage, qui concerne non pas 3,5 millions de personnes mais plus de 6 millions.

 

Ce vrai chiffre – effrayant pour un pays qui se vante d’être la cinquième puissance mondiale – correspond à l’ensemble des inscrits dans les cinq catégories de Pôle emploi. Jamais les responsables des associations caritatives n’ont autant exprimé leur «  détresse  » de ne plus pouvoir assurer les «  missions élémentaires  » que la société, laminée dans ses profondeurs, attend désormais d’elles. N’ayons pas peur des mots. C’est la République elle-même, et son idéal originel d’égalité, qui vacille. La simple indignation morale ne suffit plus. Du moins quand on est vraiment de gauche.


Jean-Emmanuel Ducoin L'Humanité.fr

 

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http://www.internationalnews.fr/article-les-pauvres-de-plus-en-plus-pauvres-en-france-124592643.html

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23 août 2014 6 23 /08 /août /2014 00:06

Internationalnews

 

http://economiepolitique.org/wp-content/uploads/2014/04/comment-rembourser-la-dette-publique.jpg

 

"Selon les informations du Figaro, la dette atteindra le niveau record de 95,1 % du PIB, très éloigné de la prévision envoyée il y a six mois à Bruxelles.
(...)

La dette atteindra 1950 milliards d'euros. Un tel niveau reflète une hausse, en valeur, de plus de 120 milliards en deux ans.

Ce niveau d'endettement représentera, en théorie, une facture de plus de 30 000 euros par Français."  Source

 


 

Cette dette publique que l’on nous cache

 

Contrepoints

 

Quel est l’état de la dette publique ? Sommes-nous en mesure de la rembourser ? Quel scénario pour l’avenir du pays sous cette épée de Damoclès ?

 

Par Philippe Lacoude

 

Les chiffres officiels ne sont pas encore connus mais la dette publique à ce jour a déjà certainement dépassé 2 000 milliards d’euros. Il n’aura fallu qu’onze ans pour accumuler 1000 milliards de dettes.


Une dette publique qui cache la réalité


Cette somme phénoménale cache une autre montagne : les déficits futurs actualisés des régimes publics d’assurance maladie et d’assurance vieillesse. Le Trésor ne publie pas ces chiffres. Contrairement à une entreprise, l’État ne provisionne pas ses futurs paiements aux malades ou aux retraités. L’État est une sorte d’assureur véreux qui demande une prime d’assurance plus basse que la valeur actualisée des dommages futurs, dépense la prime, escamote l’opération de sa comptabilité officielle et arrive encore à afficher une perte (i.e. le fameux « déficit de la sécu ») année après année. Si un assureur privé faisait de même, il serait incarcéré pour une longue durée.


Chaque année, le Trésor américain publie une étude prospective, le Financial Report of the United States Government, dans laquelle il essaie de calculer la situation réelle des finances publiques. Cette étude est requise par la loi depuis 1977. Comme les chiffres sont pitoyables, ils sont généralement publiés entre Noël et le jour de l’an, quand les journalistes sont trop occupés par les fêtes pour lire 250 pages de comptes nationaux.

 

Pourtant, ils apprendraient que le gouvernement fédéral des États-Unis avait environ 12 000 milliards de dollars de dette publique, devrait 6 500 milliards à son personnel et à ses anciens combattants, que les retraites étaient dans le rouge de 12 200 milliards, et les assurances maladies publiques d’environ 27 300 milliards. Soit une somme totale de 40 000 milliards à la fin 2013.

 

Ceci représente environ deux fois et demi le PIB courant. Plus parlant, ces sommes faramineuses représentent 4% de toutes les productions futures actualisées du pays. Le gouvernement fédéral des États-Unis pourrait donc se tirer de cette calamité en coupant drastiquement dans ses dépenses à hauteur de 4% du PIB, à perpétuité, et en consacrant les sommes ainsi économisées au paiement de ses obligations futures1.


Quid de la France ?


Personne ne sait vraiment. Bercy ne publie pas de rapport financier de 250 pages chaque année depuis 1977. La transparence, ce n’est pas depuis 1977. Ce n’est pas maintenant. C’est pour plus tard. Demain, peut-être… Aujourd’hui, pour les deux ministres en charge des finances du pays, c’est piscine !


Les seules études sérieuses sur le sujet ont été réalisées par Jagadeesh Gokhale. Cet auteur a passé des années à travailler sur cette question, d’abord comme enseignant-chercheur, puis comme consultant à l’U.S. Department of the Treasury, comme conseiller à la Federal Reserve Bank of Cleveland, à l’American Enterprise Institute et au Cato Institute.


Dans un rapport du National Center for Policy Analysis (NCPA) de 2009 et une mise à jour de l’Institute of Economic Affairs (IEA) de 2014, Jagadeesh Gokhale se penche sur les économies européennes. Il applique les méthodologies du Trésor américain aux données d’EuroStat de 2004.

 

Bien avant que la France n’accumule 2 000 milliards de dette publique, avant donc les 610 milliards de « dette Sarkozy2 », il trouve que la France avait déjà 9111 milliards d’euros (de 2004) de dettes réelles. Cette somme représentait déjà cinq fois et demi la production nationale annuelle, à 549% du PIB3.

 

À la mi-2014, la dette publique était probablement de 2040 milliards d’euros auxquels s’ajouteraient 9572 milliards de dettes officieuses4.

 

Lacoude1

 

Lacoude2

 

En pourcentage du PIB ?


L’État peut-il rembourser ? L’État peut-il rembourser 5,5 fois le PIB ? Tout d’abord, l’État ne possède pas tout le PIB. Il essaie. Avec entre 57% et 58% de succès, ces derniers temps. Cependant, il n’a pas encore mis la main sur 100% de la richesse nationale. Il échoue à la confiscation de ces 43% rebelles. Des Gaulois résistent encore et toujours aux envoyés des fricophages de Bercy. La bonne question est donc de savoir si l’État peut rembourser plus de dix fois le montant de ses recettes fiscales.


Pour ce faire, il faudrait complètement arrêter les déficits et, selon les calculs de Jagadeesh Gokhale pour 2004, il faudrait consacrer 9,66% du PIB, perpétuellement, au remboursement des dettes officielles et des dettes officieuses (Sécurité Sociale maladie et vieillesse non-provisionnées).


Là encore, la France fait figure de mauvais élève de l’Europe mais on remarque qu’elle est rejointe par l’Allemagne et l’Italie. Pourquoi ? Simplement parce que ces deux pays ont une démographie épouvantable. L’Italie, pays de 60 millions d’habitants, n’en aura plus que 42 millions en 2050 malgré l’immigration. Une bonne partie sera trop âgée pour travailler et ne participera pas au remboursement de ses dettes réelles. La France, partant avec des dettes réelles plus fortes mais une démographie meilleure, semble tirer son épingle du jeu relativement à l’Italie et à l’Allemagne.

 

Lacoude2_2

 

Ce pourcentage de 9,66% n’était valable que pour 2004. Il s’aggrave d’année en année, d’environ un demi pourcent du PIB ou, pour être plus précis, d’environ 1% des recettes fiscales de l’État. Le changement, c’est demain et il sera douloureux : comme on peut le voir ci-dessous, avec la même méthodologie, la prévision de l’étude de 2009 (qui utilisait les données prévisionnelles d’EuroStat pour l’année 2010) a dû être revue à la hausse dans l’étude de février 2014. À ce rythme, le chiffre 2014, par simple extrapolation linéaire est probablement compris entre 14 et 15% ! Ceci représente entre un tiers et un quart des recettes de l’État.

 

Lacoude4

 

Pour que l’État honore ses engagements financiers vis-à-vis des détenteurs d’obligations, des futurs retraités et des futurs malades, il y a donc quatre conditions à remplir :

  • Il faut que le budget soit en équilibre ;
  • Il faut que les taux d’intérêts restent à leur bas niveau actuel pour les 50 prochaines années ;
  • Il faut que l’État consacre entre un quart et un tiers de son budget à rembourser la dette officielle et à provisionner les retraites et les dépenses maladies futures ;
  • Il faut que la démographie ne change pas drastiquement de la trajectoire que les experts ont prévue5.

La dette publique officieuse ne sera jamais remboursée


Ces quatre conditions n’ayant aucune chance d’être remplies, on peut dire avec certitude que la dette publique officieuse ne sera jamais remboursée. En pratique, ceci veut dire que les retraites ne seront pas revalorisées, ou que l’âge de la retraite passera à 75 ans ou plus, ou que les retraites seront bien payées mais avec de la monnaie dévaluée.

 

Gageons que les hommes de l’État utiliseront un peu de ces trois méthodes. En parallèle, la branche maladie de la Sécurité Sociale continuera de mourir lentement en remboursant de moins en moins et en restreignant l’accès aux soins par des listes d’attente, par des interdictions de nouveaux types de traitements, et par l’adoption au ralenti des nouveaux médicaments.


Nous savons exactement comment tout ceci va se passer car nous avons l’expérience des anciens pays du bloc soviétique. Un jour relativement proche, les « petits vieux » devront quitter leur retraite, retourner à des petits boulots (quand ils le pourront), retourner vivre chez leurs enfants (quand ils en auront), et n’accéderont pas aux soins. Les statisticiens verront deux choses se produire :

  • La participation au marché du travail des plus de 70 ans augmentera en flèche ;
  • L’espérance de vie baissera.

La dette publique officielle ne sera probablement pas remboursée


Lorsque la dette publique atteint 100% du PIB, une simple règle apparaît : pour stabiliser celle-ci en l’absence de déficit primaire6, il faut que la croissance économique soit égale au taux d’intérêt de la dette. Si la croissance est de 3%, le PIB de l’année suivante est de 103% de celui de l’année précédente. Si le taux d’intérêt de la dette est de 3%, la dette de l’année suivante est de 103%. Le ratio dette/PIB ne change pas si le taux de croissance égale le taux d’intérêt de la dette. Quand on a environ 100% de dettes en pourcentage du PIB, rien n’est plus important pour un ministre des Finances que le taux de croissance hormis le taux d’intérêt des OAT…


Bien sûr, ceci n’est vrai que si les administrations publiques dépensent exactement ce qu’elles reçoivent en impôts et en taxes. Si l’État dépense 51% de la richesse nationale et si la pression fiscale représente 50% du PIB, alors, pour maintenir le ratio dette/PIB, le taux de croissance du PIB doit être égal à celui du taux d’intérêt de la dette plus un pourcent.


En conséquence, la question de savoir si la dette publique officielle sera remboursée revient donc à répondre aux questions suivantes :

  • Les administrations publiques vont-elles dépenser exactement ce qu’elles reçoivent en impôts et en taxes ? En termes économiques, le déficit primaire de l’État va-t-il être nul ?
  • La croissance va-t-elle dépasser le taux d’intérêt de la dette dans le futur ?

Les besoins de l’État pour remplir les promesses faites en matière d’assurance maladie et d’assurance vieillesse appellent une réponse résolument négative à la première question. Comme nous l’avons vu plus haut, en 2004, les déficits futurs actualisés de ces deux postes de dépenses représentaient déjà plus de 4 fois et demi la production nationale annuelle.


La deuxième question est également sans appel : le taux de croissance de l’économie sera plus faible que le taux d’intérêt de la dette publique. Comme nous l’avons vu dans notre précédent article, les économies plombées par une dette de plus de 90% ne croissent pas ou très peu. Nous pouvons ainsi attendre une croissance réelle à peu près nulle et donc une croissance nominale de 1 ou 2% par an.


Les taux d’intérêt sont extrêmement bas mais vont nécessairement remonter dans les 50 prochaines années (à moins que les hommes de l’État choisissent délibérément une politiquement très inflationniste). Ils reviendront sûrement à leur historique de 6 ou 7% : le taux moyen des obligations d’État françaises à 10 ans s’établit en moyenne à 7,77% sur les quarante dernières années.

 

À ce taux, il faudrait générer un excédent primaire d’au moins 10% du budget de l’État. En d’autres termes, il faudrait que l’État ne dépense que 9 euros pour 10 euros de recettes fiscales. Un tel excédent est tellement politiquement loufoque que ce calcul ne devrait même pas être envisagé.


Lacoude3_3

 

La boule de cristal


La dette publique officielle ne sera donc probablement pas remboursée. Plusieurs scénarios sont possibles mais quatre ont une forte probabilité :

  • Le défaut de paiement ou la banqueroute.
    Si la France reste dans l’euro, et si elle n’obtient pas la possibilité d’en émettre, un moment arrivera où les obligations d’État ne pourront plus être honorées à moins de drastiquement couper dans les retraites et les prestations de santé. La situation économique se détériorerait rapidement car les investisseurs internationaux échaudés arrêteraient de prêter du jour au lendemain. Les banques françaises déjà sous-capitalisées perdraient une grande partie de leurs fonds propres entraînant l’économie dans leurs propres faillites.
  • La sortie de l’euro.
    Si la France sortait de l’euro, elle pourrait émettre des francs, dont la valeur aurait une fraction de celle des euros. Elle rembourserait en franc les dettes contractées en euro. Ce vol pur et simple se heurterait très probablement au droit puisque la dette de l’État est libellée en euros. L’État aurait beaucoup de mal à se financer sur les marchés. Les banques françaises et les grandes entreprises souffriraient énormément car toutes leurs opérations passées en euros devraient être honorées dans cette devise.
  • La dilution de la dette par l’inflation.
    Il suffirait que la situation en Allemagne et en Italie continue sur leurs trajectoires actuelles pour que ces deux pays décident que la banque centrale européenne devienne une imprimerie de faux billets…
  • L’autre sortie de l’euro.
    Si l’Allemagne et les pays du nord sortaient de l’euro, la France, l’Italie et l’Espagne pourraient émettre des euros sans limite ; une inflation catastrophique s’en suivrait qui annulerait la dette à condition de ne revaloriser ni les retraites, ni les minima sociaux, ni les salaires des fonctionnaires, ni les prestations maladie. Cette sortie de l’euro a un avantage : les contrats en euros seraient respectés, sinon en valeur réelle du moins en valeur nominale.

De tous ces scénarios, les deux premiers sont les pires mais il est difficile de les exclure à cause de l’analphabétisme économique qui sévit en France. Plus une idée est dangereuse, plus elle semble trouver d’exégètes.

 

Lire aussi sur Contrepoints du même auteur : 2000 milliards de dette publique !

  1.  Aucune chance que ceci n’arrive !
  2.   Les 610 milliards de « dette Sarkozy » représentent « 10000 euros par Français ». Ceux qui ne les ont pas reçu sous forme de prestations étatiques devraient se plaindre. Les autres auraient dû faire preuve de reconnaissance et envoyer un peu d’argent pour le Sarkothon.
  3.  La méthodologie de cette étude est également exposée dans une étude de la Banque d’Italie ainsi que dans un rapport des services de recherche de la Federal Reserve Bank of Cleveland.
  4.   Si le ratio de 549% du PIB calculé par Jagadeesh Gokhale ne s’est pas aggravé…
  5.  Il existe un problème spécifique à la France : s’il est vrai que sa démographie semble meilleure que celle de l’Allemagne ou de l’Italie, il n’en reste pas moins que la France est en chute libre dans les classements d’éducation (comme PISA). De plus, elle exporte probablement aux alentours de 60000 jeunes diplômés par an. Au contraire, le capital humain moyen des nouveaux arrivants n’est pas toujours flambant. Même si la population active restait constante, sa productivité marginale du travail pourrait bien stagner. En pratique, une population moins bien formée en moyenne devrait produire suffisamment de richesses pour supporter les dettes étatiques.
  6.   Le déficit primaire de l’État correspond au solde du budget des administrations publiques non compris les intérêts versés sur la dette et les revenus d’actifs financiers reçus. Si ce solde est positif, on parle d’excédent primaire.

Source des illustrations: http://economiepolitique.org, Croah

 

http://www.internationalnews.fr/article-cette-dette-publique-que-l-on-nous-cache-124490370.html

 

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1 août 2014 5 01 /08 /août /2014 22:47

Internationalnews


hollande netanyahu

 


 

Vous président, voulez-vous que je vous montre les photos des enfants palestiniens coupés en deux par les bombes israéliennes ?


Vous président, savez-vous qu'un enfant palestinien est tué par Israël chaque trois jours, depuis dix ans ?


Vous président, vous vous inscrivez dans la lignée d'une classe politique détestable : celle qui a fait fonctionner la guillotine pendant la guerre d'Algérie, celle qui a signé pour l'assassinat de Larbi ben Mhidi, celle de l'expédition de Suez, celle qui a donné la bombe atomique à Israël.


Vous président n'avez décidément rien retenu des cours d'histoire et des cours de droit de l'Institut d'Etudes Politiques de Paris.


Vous président, alors qu'Israël agrandit tous les jours son territoire par la force, vous prétendez nier le droit des Palestiniens à résister par la force ?


Vous président, en soutenant un état qui agrandit ses frontières par la force, vous violez la charte des Nations Unies !


Vous président, par la coopération militaire que vous entretenez avec Israël, vous êtes juridiquement complice de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité.


Vous président, alors que les Palestiniens sont majoritaires sur le territoire de la Palestine, en soutenant la minorité vous niez la démocratie !


Vous président, je vous accuse de l'une des pires formes de racisme : le racisme en col blanc !


Vous président, vos déclarations n'engagent que vous, vous êtes la honte de la France !

 

Les emphases sont d'IN

 

Cf. Lettre d'Edway Pleynel  soutenu par Eric Cantonna

 

http://www.internationalnews.fr/article-lettre-ouverte-au-president-fran-ois-hollande-et-autres-racistes-qui-nous-dirigent-video-6-en-sub-124312062.html

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10 juillet 2014 4 10 /07 /juillet /2014 13:01

Internationalnews


reforme_region_hubW

 

Agenceinfolibre

 

Le reportage de Russia Today (publié le 9/07/2014) sur la réforme des régions, avec François Asselineau, Pierre Hillard, et Stéphane Bourhis

 

 

Titre original: "Diviser pour mieux régner" le plan de réforme des régions est un attrape-nigaud

 

Hé oui le but de la réforme territoriale vise à instaurer les Eurorégions, entités géostratégiques nécessaires à l'établissement d'un Fédéralisme Européen mais surtout véritable cheval de Troie visant à introniser des négociations exclusives avec les partenaires régionaux ciblés par le TAFTA en occultant de fait tout opposition Nationale.
Les EuroRégions sont déjà en place et les médias n'en parlent pas, et pourtant:

http://www.euroregion-alpes-mediterranee.eu/
http://www.euroregio.eu/
http://www.aquitaine-euskadi.eu/

 

Notons que la Loire Atlantique n'est pas rattachée à la Bretagne !

 

Véritable "balkanisation" de l'Europe et des Etats Nations la composant, le peuple est littéralement bâillonné.

Dessin: http://hublog.canalblog.com

http://www.internationalnews.fr/article-diviser-pour-mieux-regner-le-plan-de-reforme-des-regions-est-un-attrape-nigaud-124119063.html

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8 juillet 2014 2 08 /07 /juillet /2014 03:32

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Pierre Jovanovic : Comment les USA détruisent l'industrie et l'économie Française a travers les exemples de Renault & PSA. (source audio : Radio ici et maintenant 95.2 fm). Ajoutée le 5 mai 2014

 

 

Sur le même sujet:


Pierre Jovanovic.En 2018 l'Europe aura une monnaie commune avec leS Etats-Unis (vidéo)

 

http://www.internationalnews.fr/article-pierre-jovanovic-comment-les-usa-detruisent-la-france-video-8-124099491.html

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24 juin 2014 2 24 /06 /juin /2014 05:15

Internationalnews

24 juin 2014

 

Un documentaire exceptionnel sur les dérives de l'euthanasie en Belgique et aux Pays-Bas, une enquête incontournable pour tous ceux qui s'intéressent de près ou de loin à ce sujet de société et qui veulent se faire leur propre opinion. 

 

A regarder sans tarder ou à enregistrer, car susceptible de disparaitre rapidement...


http://www.leuthanasiejusquou.com. 14 janvier 2014

Source de la photo

Lire aussi notre dossier:

Dossier Euthanasie et Eugénisme


http://www.internationalnews.fr/article-l-euthanasie-jusqu-ou-derniere-version-du-documentaire-123982022.html

 

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13 juin 2014 5 13 /06 /juin /2014 15:43

Internationalnews

Marianne

Qu’est-ce que la dette publique ? D’où vient-elle ? A qui profite-t-elle ? Et comment peut-on vraiment la résorber ? A l’heure des grandes cures d’austérité, le Collectif pour un audit citoyen de la dette publique (CAC), qui rassemble des associations militantes, publie aujourd’hui un diagnostic précis de la dette française. Thomas Coutrot, économiste et porte-parole d’Attac France, qui a participé à la rédaction de ce rapport, nous éclaire sur cette dette qui sert parfois de prétexte aux pires décisions politiques...

 

 

Pour tout savoir sur le CAC et les associations qui en sont membres, cliquez ici.
Pour consulter l'audit de la dette publique française, cliquez ici ou téléchargez-le en cliquant sur le lien ci-dessous.


audit___que_faire_de_la_dette.pdf Audit - Que faire de la dette.pdf  (498.97 Ko)

 

La dette publique: comment les banques privées s’enrichissent sur le dos des citoyens

Dette: « et si on arrêtait de payer ! » (+ vidéo)

Responsable de la dette publique de la france: la loi giscard-pompidou de 1973

L'argent dette: entretien avec etienne chouard (vidéo)

Dette publique: grèce et islande : 2 visions de la démocratie

Spéculation: l’espagne a déjà remboursé trois fois sa dette !

"crise" de la dette publique: et si on ne remboursait pas? (débat)

Le salaire de la dette (documentaire d'arte)

La dette française s'accroît au rythme de 3 000 euros par seconde (vidéo)

Debtocracy : gouverner par la dette (film grec vostf)

En finir avec le chantage de la dette publique !

Après son refus de payer sa dette, l’islande fera le triple de la croissance de l’ue en 2012

Islande : le peuple a fait démissionner un gouvernement, nationaliser les banques et annuler la dette

Révolution pacifique en islande (vidéo, 6')

La dette française va exploser tous les records en 2014

Dette publique: grèce et islande : 2 visions de la démocratie

Europe: pourquoi il faut annuler la dette illégitime par damien millet et eric toussaint

François hollande et la dette publique ! Accablant ! (vidéo)

L'argent - dette film (money as debt) de paul grignon (52mn, vf)

Dette publique : un vrai hold-up ! (17')

L'argent dette ii : promesses chimériques (documentaire, 2010, 1h 30)

 

 

http://www.internationalnews.fr/article-thomas-coutrot-59-de-la-dette-publique-est-illegitime-123896816.html

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15 mai 2014 4 15 /05 /mai /2014 14:04

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L'histoire de Manuel Valls est une espèce de bluff très largement reconstruit.

 Le 25 avril est paru le nouveau livre d'Emmanuel Ratier, intitulé "Le Vrai Visage de Manuel Valls" http://www.vraivisagemanuelvalls.com. Présentation de l'ouvrage : En moins de trois ans, Manuel Valls est passé de l'anonymat (5,6 % lors de primaire socialiste de 2011) à Matignon.

 

 


Issu de la plus haute bourgeoisie catalane par son père et d'une famille suisse enrichie dans le trafic de l'or par sa mère, ce fils d'un célèbre peintre catalan nullement anti-franquiste a grandi dans un milieu huppé, dans une maison située en face de l'île Saint-Louis. Ce qui lui a permis de fréquenter le gratin des beaux-arts mais aussi de la politique.

 

Dès ses 18 ans, alors qu'il n'était même pas encore naturalisé français, il a passé un accord secret, appelé « pacte de Tolbiac », avec deux camarades au très brillant avenir : Stéphane Fouks, aujourd'hui pape des communicants socialistes et responsable du Conseil représentatif des institutions juives de France, et Alain Bauer, ancien Grand Maître du Grand Orient de France et ponte de la sécurité urbaine. Son ascension doit beaucoup à ces deux hommes, avec lesquels il est demeuré étroitement lié.

Le nouveau Premier ministre est aussi l'incarnation même du nouveau Parti socialiste tel que défini par son think tank Terra Nova : un pur apparatchik rompu aux jeux d'appareil, à la fois « boboïsé », social-démocrate modéré en apparence mais surtout haineux vis-à-vis de ses adversaires politiques, prêt à toutes les compromissions avec les milieux sarközystes recentrés, libéral rallié au mondialisme, à l'européisme, au métissage et au multiculturalisme.

 

Ce que d'aucuns pourraient appeler l'« after-socialisme » ou socialisme « à l'eau de rose ». Il est bien évidemment membre du club d'influence Le Siècle, mais aussi du groupe mondialiste de Bilderberg. Semblable aux néo-cons américains, en général venus de l'extrême gauche, il est également un soutien fanatique d'Israël, pays avec lequel il s'est déclaré « éternellement lié ». Mais on ignorait jusqu'à présent complètement que jusqu'en 2008 au moins, Manuel Valls était très clairement pro-palestinien.

C'est cet ombrageux Catalan qui se voit évidemment trôner en 2017 ou 2024 à la présidence de la République.

 


Table des matières :

Introduction
Manuel Valls par lui-même et par les autres
L'entourage familial de Manuel Valls
Issu de la grande bourgeoisie conservatrice catholique catalane
Un père nullement « réfugié anti-franquiste »
Une famille maternelle enrichie par l'exploitation de l'or colonial
La misère : grandir dans une maison du Marais, face à l'île Saint-Louis
Une seconde femme très ambitieuse
Un pur apparatchik de la politique
Le « pacte de Tolbiac »
Marginaliser le PCF et les gauchistes avec l'alliance socialistes-lambertistes
Initié franc-maçon très jeune
De Rocard à Hollande en passant par Jospin
Membre des cénacles mondialistes
Évry, ou la « petite république vallsienne »
Manuel Valls, Israël et la communauté juive
Manuel Valls, ministre de l'Intérieur
Place Beauvau
Son équipe rapprochée
Une action catastrophique
La répression de La Manif pour tous
La haine des nationaux
Alain Soral et Dieudonné, ennemis publics numéros 1

Encadrés :
Les Petits snobismes de Manuel Valls
Avec l'affaire Dieudonné, Manuel Valls met en place les principes d'une quasi-dictature

Annexes :
Manuel Valls, descendant de marranes des Baléares ?
Alain Bauer, Grand Maître de la franc-maçonnerie, de l'influence et de la sécurité
Stéphane Fouks, le « communicant » strauss-kahnien
Manuel Valls sur Radio Judaïca Strasbourg, le 17 juin 2011
Circulaire anti-Dieudonné du ministre de l'Intérieur (Manuel Valls) aux préfets de police

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