19 octobre 2013 6 19 /10 /octobre /2013 04:41

Internationalnews

17 octobre 2013

 

Le député Laurent LOUIS dénonce le soutien financier accordé par la France via l'Arabie Saoudite aux terroristes qui déstabilisent le gouvernement syrien et accuse le Président français François Hollande de crimes contre l'humanité en demandant sa comparution immédiate devant le Tribunal pénal international. Publiée le 10 oct. 2013

 

 

http://www.internationalnews.fr/article-syrie-et-pacte-franco-saoudien-le-depute-laurent-louis-accuse-hollande-de-crimes-contre-l-humanite--120543406.html

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18 octobre 2013 5 18 /10 /octobre /2013 14:28

Internationalnews

18 octobre 2013


Par Anthony Torres

WSWS 18 octobre 2013

Lundi, un ancien haut responsable des organisations patronales françaises, Denis Gautier-Sauvagnac, a avoué avoir secrètement financé les principales confédérations syndicales françaises à hauteur de dizaines de millions d’euros.


L’ancien chef de la Fédération patronale de la Métallurgie a reconnu devant le juge que des retraits de 16,5 millions d'euros en liquide des caisses de l'Entraide professionnelle des industries et des métaux étaient destinés aux syndicats. Ces paiements se sont échelonnés entre 2000 et 2007.

 

L’affaire remonte aux luttes intestines au sein des couches supérieures de la bourgeoisie qui se préparait à mener des attaques contre les retraites sous le président Nicolas Sarkozy en 2007. Déjà en 2004, le ministère des Finances étudiait les retraits illicites des comptes de la puissante Union des industries et métiers de la métallurgie (UIMM) que dirigeait Gautier-Sauvagnac. Ce dernier était considéré comme un rival de Laurence Parisot, dirigeante du Medef, et en désaccord avec Sarkozy sur certains dossiers.

 

En 2007, Gautier-Sauvagnac a comparu pour "abus de confiance" et pour "travail dissimulé", pour avoir versé à des salariés de l'UIMM, en espèces, des compléments de rémunération.

 

Arnaud Leenhardt, l'un de ses prédécesseurs à la tête de l’UIMM (1985-1999), a affirmé le 9 octobre que les bénéficiaires des enveloppes d'argent liquide étaient « les cinq syndicats représentatifs … Ce sont bien les syndicats, comme il l'a dit ». Il s'agit de la Confédération générale du travail (CGT), la Confédération française démocratique du travail (CFDT), la Confédération française de travailleurs chrétiens (CFTC), la Confédération générale des cadres (CGC) et la Confédération générale du travail - Force ouvrière (CGT-FO)

 

Leenhardt a expliqué la nécessité pour la bourgeoisie de s'entourer de syndicats qui fonctionnent comme des organisations policières pour réprimer la classe ouvrière: « Le patronat avait besoin de syndicats qui soient solides. Quand on a des grèves avec séquestration, on est bien content d'avoir un syndicat capable de canaliser ces débordements et de favoriser une reprise du travail ».

 

Lundi, Gautier-Sauvagnac est revenu sur ses précédentes déclarations au tribunal. « En réalité, je reconnais que je n'ai pas été assez clair jusqu'à présent et je confirme ici les propos d'Arnaud Leenhardt », a-t-il déclaré. Il n’a pas voulu donner le nom des personnes qui touchaient l’argent de l’UIMM, par crainte que leurs organisations ne subissent la colère irréversible des travailleurs.

 

Gautier-Sauvagnac a précisé que ces aides se présentaient sous deux formes. La première, sous forme de chèques, « concernait des achats d'espaces publicitaires à prix d'or ou des locations de stands, également à prix d'or, ou encore par l'achat de journaux syndicaux », a énuméré l'ancien patron en précisant qu'il s'agissait là en réalité « d'une façon d'habiller les contributions » au financement des syndicats. « Mais, cela n'était pas suffisant, c'était un prétexte qui avait ses limites », a-t-il poursuivi en expliquant que le reste des aides étaient données « en liquide » de façon « plus discrète ».

 

Dominique Renaud, responsable du service comptabilité de l’UIMM, a décrit le mode de fonctionnement: « Une fois par semaine, je me rendais dans le bureau de M. Gautier-Sauvagnac pour signer les règlements de l'UIMM. (...) Si M. Gautier-Sauvagnac avait besoin de récupérer de l'argent, il me disait : 'Il faudra tant d'argent.' J'avais pris le rythme de sortir à chaque fois 200 000 euros ».

 

Jacques Gagliardi, ancien directeur des études de l'UIMM, avait déclaré en 2008 que Pierre Guillen, prédécesseur de Gautier-Sauvagnac à la tête de l'UIMM, « donnait des sommes en liquide à des syndicats … Concernant la CGT, il m'avait dit qu'il leur donnait quelques centaines de milliers de francs tous les ans ».

 

Les syndicats n’ont pas démenti les propos tenus par Gautier-Sauvagnac. Par l’intermédiaire d’un haut responsable, la fédération de métallurgie de la CFDT reconnaît avoir reçu une aide financière de l’UIMM pour « des remboursements de frais de participation à des réunions paritaires qu'elle a perçus de l'UIMM entre 2002 et 2006 inclus, pour un montant total de 21.626,13 euros ».

 

Il ajoute : « Moi, personnellement je n'ai jamais entendu parler d'enveloppes. En revanche, oui, l'UIMM nous a aidés en achetant des pages publicitaires dans nos journaux ou en louant un stand lors de nos congrès. Quand nous avons été perquisitionnés dans le cadre de l'affaire UIMM, tout était dans nos comptes, la traçabilité de ces opérations était très claire. Nous n'avons rien à cacher ».

 

La CFDT affirme avoir remis à la justice des documents montrant une comptabilité transparente. Cependant, étant donné que l’argent donné par l’UIMM était en liquide, il n’apparaîtrait vraisemblablement pas dans le bilan comptable de l’organisation.

 

Ces révélations constituent une preuve flagrante de la collaboration entre l’Etat, le patronat, et les syndicats contre la classe ouvrière. Après des décennies où les travailleurs ont abandonné les syndicats en masse, les bureaucraties syndicales sont devenues des coquilles vides, financées et pilotées par l’aristocratie financière.

 

Le rapport Perruchot, supprimé l’année dernière par les parlementaires, a documenté l’absence totale de base financière indépendante chez les syndicats : « Presque 4 milliards d’euros qui sont vraisemblablement consacrés annuellement à l’activité syndicale en France. L’essentiel de ces moyens (90 pour cent) semble provenir de l’exercice du droit syndical dans les entreprises et la fonction publique, tandis que les contributions directes des syndiqués sous forme de cotisations n’en représenteraient, après déduction de l’aide fiscale, que 3 à 4 pour cent ».

 

Cette dépendance des syndicats vis à vis de l’Etat n’est que le reflet financier de l’effondrement des bases ouvrières des syndicats et de leur suppression des luttes sociales.



Le pourcentage de travailleurs syndiqués en France (1949-2004)



Le nombre de journées de grève (en milliers, 1975-2004)

Ces graphiques démontrent l’effondrement des syndicats comme organisations de la classe ouvrière ou de la lutte des classes.


Leur rôle réactionnaire et pro-capitaliste apparaît dans tous les plans sociaux et dans toutes les attaques contre les acquis sociaux, comme les retraites, en France et à travers l’Europe. Ils négocient d’abord ces mesures d’austérité avec le patronat et l’Etat. Ils visent ensuite à empêcher que les mobilisations sociales contre l’austérité ne se transforment en une grève générale du prolétariat : ceci menacerait de déclencher une lutte révolutionnaire contre les sources de leur financement.

 

Ces données soulignent la nécessité de créer de nouveaux organismes de lutte de la classe ouvrière, et un nouveau parti politique pour donner aux luttes une perspective socialiste.

 

Le scandale de l’UIMM révèle toute l’histoire du processus par lequel les syndicats se sont transformés d’organisations de défense de la classe ouvrière en instruments de la réaction impérialiste. Gautier-Sauvagnac a déclaré que ses contributions aux syndicats « étaient une forme d'appui que, depuis des décennies, l'UIMM apportait à des organisations de salariés et patronales ».

 

Cette caisse d’Entraide pour les industries et les métaux avait été créée en 1972. Elle préparait la contre-offensive de la bourgeoisie de la fin des années 70, en réponse à la montée des luttes ouvrières après la grève générale de 1968. Cette contre-offensive a fini par détruire une grande partie de l’industrie sidérurgique du nord de la France, avec des fermetures d’usines et des licenciements de masse qui ont dévasté ces régions.

 

Le Parti communiste français (PCF) stalinien et ses dirigeants syndicaux, terrifiés par l’initiative révolutionnaire des masses ouvrières en 1968, ont poursuivi leur intégration dans l’appareil de l’Etat, par le biais d’une alliance avec le Parti socialiste (PS). En même temps, une couche d’étudiants ex-radicaux liés à des mouvements petit-bourgeois, telles la Ligue communiste révolutionnaire (prédécesseur du Nouveau Parti anticapitaliste) ou Lutte ouvrière, ont trouvé des postes et des revenus au sein de cette même bureaucratie.

 

Ces partis, qui servent d’appui au PS et à l’administration réactionnaire du président François Hollande, insistent aujourd’hui pour dire que seuls les syndicats peuvent diriger les luttes ouvrières. Ceci démontre comment la « gauche » petite-bourgeoise tout entière est devenue, tout comme la bureaucratie syndicale, une force réactionnaire inféodée aux conspirations des banques et de l’aristocratie financière.

 

Source de la photo

 

http://www.internationalnews.fr/article-les-syndicats-fran-ais-finances-par-le-patronat-a-hauteur-de-millions-d-euros-120675011.html

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18 octobre 2013 5 18 /10 /octobre /2013 09:14

Internationalnews

 

Avec près de 500 agriculteurs qui ont mis fin à leur jour entre 2007 et 2009, le suicide est la troisième cause de décès dans le monde agricole. Dans le Gers, une famille d'agriculteurs endeuillée a accepté de nous parler des conditions de vie difficile de cette profession. Dans son étude, l'INVS établit un lien direct entre suicide et difficultés économiques. Publiée le 10 oct. 2013

 

 

 

Ferme à Vendre ! La ruine d'un Agriculteur...

 


 

Surveillance de la mortalité par suicide des agriculteurs exploitants

Par Claire BOSSARD

L’importance du nombre de suicides parmi les travailleurs agricoles a été mis en évidence dans plusieurs études en France et à l’étranger. D’après ces études, la population agricole se distingue des autres populations de travailleurs par un excès de décès par mort violente, en particulier par suicide et par chute accidentelle.

 

Récemment , les résultats de l'analyse conduite par l'Institut National de Veille Sanitaire [6], en France ont montré que les agriculteurs exploitants présentaient un risque de décéder par suicide trois fois plus élevé chez les hommes et deux fois plus élevé chez les femmes, que celui des cadres .
Ceci place la catégorie sociale des agriculteurs exploitants comme celle présentant la mortalité par suicide la plus élevée parmi toutes les catégories sociales. Extraits : La présente étude est une étude épidémiologique transversale répétée. Elle consiste à mesurer chaque année la mortalité par suicide et par causes externes dans la population des exploitants agricoles (...) et d'en suivre l'évolution entre 2007 et 2009.
Le choix a été fait, dans un premier temps, de restreindre la population d'étude aux agriculteurs exploitants et de ce fait, les salariés agricoles ne font pas partie de la population étudiée. Il s'agit de la première analyse de mortalité par suicide portant sur des données nationales (...) Lire la suite »

 

http://www.internationalnews.fr/article-un-suicide-tous-les-deux-jours-chez-les-agriculteurs-video-1-mn-40--120529757.html 

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28 septembre 2013 6 28 /09 /septembre /2013 19:01

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Le Point le 27/09/2013 à 06:07

Le rideau de fumée des déclarations officielles ne peut dissimuler la réalité: les impôts, les déficits et les dépenses publiques continueront d'augmenter.

 

François Hollande a peut-être raté sa vocation. On l'imagine sur une scène de music-hall vêtu en magicien, redingote et chapeau haut de forme, maniant avec dextérité une baguette étoilée et faisant surgir une colombe tout en escamotant un lapin. Tout l'art du prestidigitateur consiste en effet à faire diversion, à capter l'attention du spectateur sur un espace éclairé pendant que les choses sérieuses se passent ailleurs, dans la pénombre. C'est à peu près la méthode employée ces jours-ci pour faire avaler quelques bons gros mensonges en matière budgétaire et fiscale.

 

"Oyez, oyez, bonnes gens. L'an de grâce 2014 - le troisième du règne de la hollandie - verra vos impôts sinon fondre comme neige au soleil du moins se figer telle l'huile un soir d'hiver", proclament en ce début d'automne les hérauts du gouvernement (qui sont aussi parfois des Ayrault...). Ils assènent au bon peuple médusé et avec un culot d'acier que les dépenses publiques vont diminuer, que le pays est dans la juste voix qui va le conduire à la vertu financière.

 

Un simple coup d'oeil sur le projet de budget 2014 suffit à pulvériser ce hasardeux montage de com. Hausse de la TVA, des droits de mutation dans l'immobilier, baisse du plafond du quotient familial, fiscalisation de la majoration des pensions de retraite pour les retraités ayant eu trois enfants : l'addition est plutôt salée. Côté entreprises, on a même inventé un nouveau et inquiétant monstre fiscal : l'impôt sur l'excédent brut d'exploitation, censé remplacer deux autres taxes supprimées. Les dépenses de l'État, elles, continueront de croître d'environ cinq milliards.

 

La course vers l'abîme

 

"Mais, rétorquent les ministres concernés, si nous n'avions rien fait, elles auraient augmenté de 20 milliards". Hosanna ! On n'arrête pas la course vers l'abîme, on la ralentit. Imaginez un citoyen lambda déjà lourdement endetté gagnant, par exemple, 50 000 euros par an et qui en dépense 70 000.

La bouche en coeur, il va expliquer à son banquier que, l'an prochain, il sera raisonnable et ne dilapidera "que" 60 000 euros et que, par conséquent, il sollicite un prêt pour financer ses dépenses courantes. Dans un tel scénario, le malheureux se retrouverait rapidement avec les huissiers aux trousses, des saisies-arrêts sur salaire et peut-être en faillite personnelle.

 

Heureusement, les États ne sont pas soumis aux mêmes règles contraignantes. La dette de la France continuera, par conséquent, d'augmenter pour atteindre un niveau record : 95,1 % du PIB. On a bien taillé à la serpe dans les budgets de certains ministères, réduit les dotations des agences de l'État, rogné celles des communes.

 

Mais l'on refuse de s'attaquer au coeur du problème : une fonction publique pléthorique et mal répartie protégée par un statut anachronique. Un peu plus de 2 000 postes de fonctionnaire seront, paraît-il, tout de même supprimés... sur 5 millions. Bel effort. Rappelons que nos malheureux voisins allemands - de toute évidence sous-administrés - ne disposent que de 50 fonctionnaires pour 1 000 habitants contre... 90 en France. Quant à la Suède, elle a, en vingt ans, diminué de 38 % le nombre d'agents publics...

 

 

Illustrations: http://www.mortderire.com

http://blogifhumour.canalblog.com

 

http://www.internationalnews.fr/article-francois-hollande-le-magicien-fiscal-le-point-fr-publie-le-27-09-2013-a-06-07-le-rideau-de-fumee-d-120286825.html

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20 septembre 2013 5 20 /09 /septembre /2013 10:22

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 LE FIGARO 16/09/2013

 

Le taux d'endettement du pays grimpera jusqu'à 95,1% du PIB fin 2014, selon nos informations. Soit environ 1950 milliards qui équivaudront, en théorie, à une ardoise de plus de 30.000 euros par Français.

En présentant la semaine dernière les grandes lignes du projet de loi de finances pour 2014, les ministres de Bercy, Pierre Moscovici et Bernard Cazeneuve, se sont montrés particulièrement discrets sur un sujet: l'endettement. Et pour cause, la dette va crever tous les plafonds l'année prochaine. Selon nos informations, le texte qui sera présenté dans huit jours montrera qu'après avoir atteint 90,2% du PIB en 2012, la dette de la France en représentera 93,4% en 2013 et grimpera jusqu'à 95,1% fin 2014! Un record, bien supérieur au taux de 94,3% envoyé au printemps par Paris à Bruxelles dans le programme de stabilité.

 

Il faudra en fait attendre 2015 pour que l'endettement hexagonal entame sa décrue. «Avec le retour à un équilibre structurel des finances publiques et une croissance de l'activité de 2% en volume, le ratio de dette diminuerait de 2 points par an en moyenne», anticipe déjà l'exécutif pour la période 2015-2017.


Hausse de 120 milliards en deux ans

Mais d'ici là, la dette de la France dépassera 1950 milliards d'euros à la fin 2014, si la croissance atteint 0,9% comme le prévoit le gouvernement. Soit une hausse de plus de 120 milliards en deux ans et un total qui équivaudra, en théorie, à plus de 30.000 euros par Français.

 

Le pic de 2014 est «le reflet de la situation du déficit public», souligne-t-on dans les rangs du gouvernement où on reconnaît qu'«on est à un sommet et qu'il faut que ça change». Certes, Bercy prévoit que ce déficit recule de 4,1% cette année à 3,6% fin 2014. Mais, d'une part, c'est moins que ce qui était initialement prévu - Paris ayant décidé de profiter de la flexibilité de deux ans, jusqu'en 2015, offerte par la Commission européenne pour ramener ses finances publiques dans les clous du pacte de stabilité; et d'autre part, ce n'est pas suffisant pour inverser la courbe.

 

Le chiffre «intègre en outre les plans de soutien financiers à la zone euro», insiste-t-on. Ces derniers ont déjà eu un impact sur la dette 2012 de la France de 48 milliards. Une note qui grimpera en cumulé à 62,5 milliards fin 2013 avant de culminer à 68,7 milliards fin 2014. Hors soutien à la zone euro, la dette atteindrait 91,8% du PIB à la fin 2014, un chiffre plus avenant sur lequel l'exécutif a prévu de communiquer beaucoup plus.


«Le risque d'emballement de la dette n'est pas que théorique»


À la veille de l'été, le premier président de la Cour des comptes, Didier Migaud, lors de la présentation de son rapport annuel sur les finances publiques, avait prévenu qu'«aussi longtemps que notre pays aura une dette élevée, il se situera dans une zone dangereuse qui l'expose à un risque en cas de hausse des taux d'intérêt». Avant de prévenir que «le risque d'emballement de la dette n'est pas que théorique», rappelant au passage que la charge d'intérêt des administrations publiques (environ 46 milliards en 2012, comme en 2013) représente en France plus du double de l'effort budgétaire consacré à la recherche et à l'enseignement supérieur.


La semaine dernière, le ministre de l'Économie ne pouvait s'empêcher de lâcher: «L'opposition prophétisait une attaque spéculative; nous n'avons jamais emprunté si peu cher.» Avec un tel record d'endettement à venir, l'Agence France Trésor, la cellule de Bercy chargée de placer au mieux la dette de la France, doit croiser les doigts pour que cela dure…

 

Graphique: http://www.syti.net/Endettement.html

 

http://www.internationalnews.fr/article-la-dette-francaise-va-exploser-tous-les-records-en-2014-120156518.html

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20 septembre 2013 5 20 /09 /septembre /2013 10:13
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18 septembre 2013 3 18 /09 /septembre /2013 09:57

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Quatre témoins Français parlent de leur calvaire au pays de cheikha Mozza et cheikh Hamad. Humiliés, désabusés et retenus contre leur volonté, ils sont en conflit avec des bédouins sans foi ni loi et dans l’indifférence des autorités françaises. Pour information, il y a 3 366 expatriés Français au Qatar dont 1 188 mineurs ! Voici un document choc de Canal Plus sur cet émirat voyou (vidéo).

 

 

Ils sont joueurs, entraineurs ou préparateurs physique. Ils sont partis au Qatar pour gagner de l’argent en échange de leur talent ou compétence. Ils le regrettent aujourd’hui amèrement et ne demandent qu’à quitter au plus vite cet émirat voyou et esclavagiste. La chaine de télévision Canal Plus est allée à leur rencontre. Témoignages accablants de Zahir Belounis, Stéphane Morello, Jean Godeffroye et Abdeslam Ouaddou. Plusieurs dizaines de personnes sont dans le même cas.

Ce document de Canal Plus est une alerte aux Français en général et à ceux qui sont d’origine maghrébine en particulier. En voulant gagner de l’argent, vous risquez de perdre votre dignité, votre liberté et même votre humanité. Le Qatar que certains médias français vous décrivent de manière fallacieuse comme un Eldorado, n’est pas celui que vous allez découvrir une fois là-bas. Cette propagande que le Qatar entretient grâce à l’argent et à son puissant réseau politique et médiatique français, de gauche comme de droite, a brisé des rêves et détruit des familles. Avant de vous laisser entrainer par une utopie qui risque de tourner au cauchemar, aillez le réflexe du Premier ministre Jean-Marc Ayrault : « Le Qatar ? Avant d’y aller, je réfléchirai ».

Zahir Belounis : « J’ai envie de partir ».

Ancien milieu de terrain de Noisy-le-Sec, de l’Île Rousse et de Saint-Lô, passé par la Malaisie (Melaka TMFC) et la Suisse (la Tour-Le Pâquier), Zahir Belounis est retenu au Qatar avec son épouse et ses deux enfants. Ce joueur franco-algérien, débauché pour servir Al-Jaïsh, le club de l’armée, dont il a été le capitaine d’équipe, est privé de ses droits et de sa liberté de quitter le territoire qatari. Les bédouins lui ont volé son contrat et, en échange de sa liberté de regagner la France, le directeur sportif du club Al-Jaïsh, Youssef Dasmal lui impose la signature d’un document dans lequel il renoncerait aux deux années de salaire que les Qataris lui doivent. « Ils m’ont empêché de vivre mon rêve », s’indigne aujourd’hui ce joueur que les bédouins veulent réduire au silence avec la complicité passive des autorités françaises et le silence assourdissant des médias français.

Stéphane Morello : « Je suis un otage qui ne connait même pas le prix de la rançon » !

Originaire de Saumur, les 52 ans dépassés, cet entraineur sportif ne touche plus aucun salaire depuis plus de trois ans. Comme beaucoup d’autres, cet ancien entraineur du Romorantin s’est expatrié au Qatar pour y faire fortune grâce à son savoir-faire footballistique. Il avait signé son contrat avec le comité olympique qatari, moyennant 6000 dollars par mois. Cela fait plus de trois ans qu’il ne touche plus aucun centime. En procès contre son employeur escroc, il espère toujours obtenir gain de cause dans un émirat où la justice est aux ordres de la famille régnante. « Je ne peux pas exercer mon travail, je ne peux pas aller travailler ailleurs, je ne peux pas quitter le territoire, je ne peux rien faire…Cela fait cinq ans que je n’ai pas pu sortir du Qatar…J’ai l’impression d’être un otage et je ne connais même pas le prix de la rançon », déclare ce citoyen français dont le pays entretient les meilleurs relations avec l’émirat bédouin.

Jean Godeffroy : « Une fois au Qatar, on ne peux plus quitter ce pays librement » !

Le cas de Jean Godeffroy est moins tragique que les précédents otages du Qatar. Cet ancien préparateur physique du prestigieux PSG a dû renoncer à neuf mois de salaire pour pouvoir quitter l’Eldorado qatari. Lui aussi, espérait y faire fortune, mais, comme il le dit lui-même, un beau jour, « un vendredi, on m’a téléphoné pour m’annoncer que ce lundi, je dois débarrasser le plancher » ! Il a été obligé de renoncer à ses droits pour obtenir le précieux « exit permit » que l’esclavagiste employeur délivre selon son bon vouloir. Aujourd’hui libre et vivant à Bastia, il témoigne de sa mésaventure afin que d’autres ne soient pas victimes de leurs propres illusions et d’une image du Qatar savamment entretenue par certains médias français.

Abdeslam Ouaddou : « C’est de l’esclavagisme pur et simple » !

Footballeur professionnel d’origine marocaine, ancien de l’équipe de Nancy, il a été recruté par le « Qatar Sports Club », deuxième club du propriétaire du PSG. Cette année-là, raconte un journaliste français, le club dans lequel jouait Ouaddou, le Lekhwiya, avait remporté le championnat national. Avant la seconde saison, on informe Abdeslam Ouaddou qu’il va désormais jouer pour un autre club. Il conteste mais finit par accepter. Une année plus tard, on lui demande de renoncer à son contrat, qui est pourtant encore valide pour une année ! Son employeur a cessé de le payer en juillet 2012, alors que son contrat expirait, en effet, e 12 juillet 2013. Dans le journal Le Monde du 22 avril 2013, il confiait : « En 2010, je m'engage pour deux saisons avec le club qatari de Lekhwiya qui appartient au cheikh al-Thani, également propriétaire du PSG. A la fin de la première saison, nous remportons le titre de champion. Je rentre en France pour les vacances et, à mon retour, tout se complique. Les dirigeants m'informent que je dois quitter le club, sans la moindre explication. J'ai d'abord cru à une blague. Mais je me suis vite aperçu que celui qui me parlait ne rigolait pas du tout. J'ai essayé de comprendre, de discuter. Mais rien à faire : "C'est un ordre du prince. Et les ordres du prince ne sont pas sujets à discussion.".

Portant l’affaire devant la Fifa, il finit par obtenir le document « exit permit », le fameux visa de sortie, en échange de renoncer à sa plainte et à ses droits. « Le jour où vous êtes moins performant, on peut tout simplement cesser de vous payer, ou de vous dire de quitter le pays. On ne va pas se voiler la face, c’est de l’esclavagisme pur et simple », lance Abdeslam Ouaddou. Vivant aujourd’hui à Nancy, il lance cet appel aux futurs candidats à l’Eldorado qatari : « Ce qui me dérange, c’est le contraste entre ce qui se passe là-bas –parce que j’y ai vécu pendant deux ans et demi- et l’image qu’ils veulent renvoyer en Occident et en particulier en France grâce au PSG…Je veux vraiment ouvrir les yeux aux joueurs qui ont l’intention d’aller vers ces destinations. Ce n’est pas l’eldorado qu’on pense » !

Philippe Bogaert et Nasser Beidoun, autres victimes de l’émirat voyou

Le sport n’est effectivement pas le seul domaine où l’on compte des victimes. En 2008, un producteur de nationalité belge, Philippe Bogaert, est resté près d’une année otage des milliardaires bédouins. Il a été pris dans un engrenage financier et judiciaire interminable. Il était le directeur d’une société qatarie qui a rapidement fait faillite en raison d’un énorme impayé. Pour ce fiasco qui n’engage pas sa responsabilité directe, Philippe Bogaert a été poursuivi par son sponsor, qui est  d’ailleurs l’actionnaire majoritaire de la société en question.

On lui a réclamé des millions de dollars pour faillite et préjudices subis ! Retenu en otage durant onze mois au Qatar, ce cadre belge a pu finalement s’évader à bord d’un  voilier en direction de Bombay en Inde. Un scénario digne d’un film  hollywoodien. Pour ce producteur cinématographique, « Ce qui se cache derrière ce sponsor, c’est de l’esclavage pur et simple. Vous êtes complètement dépendant de lui ». Esclavage pur et simple, la même expression employée par Abdeslam Ouaddou !
 
Autre victime du mirage qatari, le cas de Nasser Beidoun, la cinquantaine, qui  s’est retrouvé lui aussi  otage de l’émirat bédouin, pour des raisons semblables à celle de Philippe Bogaert. Cet Américain de parents libanais et originaire de Detroit, a vécu un cauchemar qu’il raconte sur son blog depuis qu’il a recouvert sa liberté. Grâce à une médiatisation de son histoire et à sa citoyenneté américaine, Nasser Beidoun a pu faire valoir son droit auprès de la « justice » qatarie après deux ans de bataille judiciaire. Comme Abdeslam Ouaddou et Philippe Bogaert, il dénonce aussi un « esclavage moderne ».

Ahmed, un tunisien qui a la trentaine, a peut-être eu plus de chance! Ingénieur en informatique et vivant en France, il a démissionné de la société qui l’employait pour travailler dans une entreprise qatarie qui lui proposait un contrat juteux, des « conditions de rêve » comme il l’a dit. Ahmed a démissionné, son épouse journaliste a refusé un poste « dans une grande chaîne », tous les deux ont vendu leurs meubles... pour aller s’installer au paradis qatari. Mais peu de temps avant le grand voyage, ce jeune couple reçoit un courrier électronique leur annonçant qu’ils n’ont finalement pas obtenu de visa. Motif invoqué : Ahmed est de nationalité tunisienne et le quota pour ce pays serait dépassé.
 
Au Qatar, les victimes se comptent par milliers
 
Si cet émirat aux pratiques esclavagistes et mafieuses traite ainsi des hommes d’affaire américains et des joueurs ou des entraineurs, Français de surcroit, que dire alors des milliers de travailleurs asiatiques ou arabes ?

 

Sur une population de deux millions d’habitants, 80% sont des travailleurs, c’est-à-dire des esclaves modernes dont la majorité (asiatique) est payée entre 400 et 600 euros par mois.

 

Selon Human Rights Watch, 191 travailleurs Népalais au Qatar sont morts en 2010, et 98 autres de nationalité indienne sont morts en 2012. Des accidents de travail « ordinaires » dans un émirat où le droit du travail n’existe point.

Près d’un millier de travailleurs se trouvent en prison, lourdement condamnés pour avoir demandé des augmentations ou une amélioration de leur condition de travailleurs.

Ils ne sont pas travailleurs et purgent actuellement des peines de prison au Qatar.

L’un est qatari, l’autre est tunisien. Le premier, Mohammed Al-Ajami, a été condamné en novembre 2011 à 15 ans pour un poème interprété par la « justice » comme un appel au renversement de la dictature qatarie ; le second, Mahmoud Bounab, ex-directeur d’Al-Jazeera Chidren, est depuis septembre 2011 en prison dans l’attente de la révision de son procès.

Nabil Ennasri, le gentil "doctorant" au service du vilain petit Qatar

C'est à cet émirat aux pratiques mafieuses et esclavagistes qu'a été confié l'organisation de la coupe du Monde de 2022. La fameuse affaire du Qatargate, qui a été révélée par le magazine France Football le 29 janvier 2013. "Comment ils ont acheté le Mondial 2022 ?", s'interrogeait alors ce magazine. Le 11 janvier 2013, Europe1, révèlait déjà que Zinédine Zidane aurait touché près de 11 millions d'euros pour avoir soutenu la candidature du Qatar. Il n'était pas le seul !

Tel est l’envers du décor qatari que certains mercenaires ou propagandistes en France présentent comme un Etat respectable et comme une démocratie en construction. Parmi les figures montantes de cette propagande islamo-wahhabite, le Frère musulman Nabil Ennasri, jeune doctorant français d'origine marocaine, qui a consacré son travail "universitaire" au vernissage du tableau qatari en France.

 

Après cette prouesse picturale, il est implicitement candidat en Europe au poste de « prédicateur médiatique », jusqu’alors occupé par Tariq Ramadan qui a été appelé à d’autres « fonctions stratégiques » auprès de son altesse royale, cheikha Mozza ! Cet enver du décor qatari a été magistralement décrit par Nicolas Beau et Jacques-Marie Bourget, dans leur dernier livre, "Le vilain petit Qatar. Cet ami qui nous veut du bien", publié aux éditions Fayard. Tunisie-Secret.com
 
Karim Zmerli et Lilia Ben Rejeb 9 Mai 2013         

 

Comment le Qatar a acheté la France (et s'est payé sa classe politique) + vidéo

Le Qatar, la Conquête Economique du monde (vidéo)

Le Qatar FINANCE l'ISLAMO-FASCISME et le JIHAD PARTOUT dans ce "printemps arabe" cette escroquerie

Qatar/France: des relations trop cordiales pour être honnêtes? (RMC)

QATAR - The disgraceful truth: huge human/animal rights abuser (documentary)

Le Vilain Petit Qatar, Cet ami qui nous veut du mal (+ vidéo et dossier Qatar)

Terrorisme : Yves Bonnet, ex-patron de la DST, met en cause le Qatar et l'Arabie saoudite + dossier

Comme Sarkozy, Hollande fait les éloges du Qatar, principal financier des terroristes islamistes!!! (vidéo, 1'24)

Yves Bonnet, ex chef de la DST: Qatar-France: attention danger! (vidéo, 6')

 

 

Source de l'image: http://www.tunisie-secret.com mai 2013


Url de cet article:

http://www.internationalnews.fr/article-des-sportifs-francais-temoignent-le-qatar-est-un-emirat-esclavagiste-119799377.html

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10 septembre 2013 2 10 /09 /septembre /2013 13:54

Internationalnews

http://www.videobourse.fr

 

Le Rafale est fabriqué par le groupe Dassault



 

http://www.internationalnews.fr/article-le-qatar-s-interesse-de-pres-a-eads-quels-enjeux-pour-la-france-120334126.html

 

 

 

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2 septembre 2013 1 02 /09 /septembre /2013 15:36

Internationalnews

31 aout 2013

 

 

La Tribune 28/08/2013

Par Michel Cabirol  

Selon des sources concordantes, la société ODAS, qui représente les intérêts français en Arabie saoudite, a signé un contrat d'Etat à Etat au mois d'août avec Ryad d'un montant de plus de 1 milliard d'euros portant sur la modernisation d'une partie de la flotte militaire du Royaume. DCNS, Thales et MBDA ainsi que ODAS se partagent la commande.

C'est un bel été pour l'industrie française de l'armement, qui engrange enfin des gros contrats export. Après les deux contrats gagnés d'une valeur totale de près de 1 milliard d'euros par EADS et Thales aux Emirats arabes unis (deux satellites espions et 17 radars de défense aérienne), c'est au tour de l'Arabie Saoudite de débloquer un contrat longtemps attendu. Selon des sources concordantes, la société ODAS, qui représente dans le royaume les intérêts des industriels français DCNS, Thales et MBDA, a signé en août avec Ryad un contrat d'Etat à Etat (LEX ou Life Extension Sawari 1) de plus d'un milliard d'euros portant sur la modernisation de quatre frégates de classe Al Medinah et de deux pétroliers-ravitailleurs de la classe Boraida mis en service en 1985-1986 (contrat Sawari I).

Le contrat pourrait être mis en vigueur dès le 1er septembre. Quatre sociétés se partagent cette commande : DCNS avec son partenaire saoudien Zamil (700 millions d'euros), Thales (moins de 200 millions), MBDA, qui va équiper les pétroliers de son nouveau système surface-air à très courte portée de MBDA Simbad-RC (entre 40 et 50 millions d'euros), et ODAS (infrastructures). ODAS a été créée à la demande de l'État français pour contribuer à développer les exportations dans le domaine de la défense, de la sécurité et des hautes technologies. ODAS intervient essentiellement en Arabie saoudite dans le cadre de contrats d'État à État ou de contrats commerciaux. Son actionnariat rassemble, aux côtés de l'État français, une dizaine de grandes entreprises, dont DCNS, MBDA France et Thales.

Plus de cinq ans de négociations

DCNS attendait depuis longtemps la signature de ce contrat espéré depuis près de deux ans (les négociations ont commencé il y plus de cinq ans) pour moderniser une partie de la flotte saoudienne. Le contrat LEX sera réalisé en partie par un chantier naval saoudien, le groupe Zamil. Pour DCNS, un contrat de ce type est une première en Arabie Saoudite. Le chantier naval français va devoir créer une structure industrielle à Djeddah sur les bords de la Mer Rouge. En outre, la remise en état des navires peu entretenus sera compliquée. Du coup, l'enjeu pour DCNS sera de maîtriser les coûts de production et les délais dans un environnement peu connu par le groupe... et de satisfaire le client dans ce domaine pour remporter un nouveau contrat de modernisation (Sawari 2).

Selon nos informations, DCNS aurait déjà obtenu un autre contrat de 150 millions d'euros pour la modernisation des frégates Sawari 2 dans le cadre d'un accord-cadre global. Soit 850 millions engrangés au total par le chantier naval.

Des frégates multimissions Fremm en Arabie saoudite ?

Mais surtout DCNS compte à plus long terme beaucoup sur la vente d'au moins six frégates multimissions Fremm (Sawari III). "Le contrat Lex est important pour la vente des Fremm", assurait-on il y a plus d'un an à "latribune.fr". D'autant que DCNS et Paris, via la structure ODAS, proposent une coopération industrielle globale aux Saoudiens avec l'assemblage à terme des Fremm en Arabie saoudite, assorti de transferts de technologies (aussi bien sur la tôle que sur l'électronique) et d'un volet formation. Mais les premières Fremm seraient réalisées à Lorient, expliquait-on à "latribune.fr".

François Hollande en Arabie saoudite cet automne

Le président François Hollande, qui a déjà effectué une visite express en Arabie Saoudite en novembre 2012, comptait s'y rendre cet été mais le roi était parti se reposer à l'étranger. Les Saoudiens ont donc repoussé cette visite d'Etat, qui est désormais prévue cet automne. La convergence de vue entre Paris et Ryad sur le dossier syrien n'est pas étranger au réchauffement des relations franco-saoudiennes après la période glaciale du quinquennat de Nicolas Sarkozy, comme le démontre la signature de LEX. "Ryad a pris le temps de se faire une idée des nouveaux responsables politiques français", explique un connaisseur du royaume.

Désormais, les industriels français, notamment Thales, attendent la signature du mégacontrat Mark 3 portant sur la livraison de nouveaux missiles Crotale (défense aérienne). « Les discussions se sont accélérées », explique-t-on à La Tribune. 

Source de l'illustration: http://www.centerblog.net

Url de cet article:

http://www.internationalnews.fr/article-la-france-signe-un-contrat-de-plus-d-un-milliard-d-euros-avec-l-arabie-saoudite-119836747.html

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1 septembre 2013 7 01 /09 /septembre /2013 21:17

Internationalnews

Les grands amis de François Hollande et de Fabius... Ce dernier aurait également déjà du sang (contaminé) sur les mains. Alors, un peu plus, un peu moins...

 

Source de la photo:http://www.jolpress.com

Dossier:

Syrie: escalade des massacres par les terroristes (vidéo)

Syrie: les terroristes soutenus par les usa vaincus par les forces armées syriennes par prof michel Chossudovsky

Les terroristes d'al qaida en syrie (vidéo) + dossier

L’ue lève l’embargo sur les armes destinées aux terroristes opérant en syrie

Syrie: reportage russe au coeur des combats entre terroristes et armée syrienne (reportage)

Deux mois avec l'armée syrienne face aux terroristes (reportage de la télévision russe)

Syrie: les terroristes islamistes de l'otan saccagent un cimetière chrétien (vidéo)

Les terroristes de l'armée syrienne libre torturent un malade mental (vidéo)

Les crimes des terroristes de l'armée syrienne libre en syrie (nouvelles vidéos)

Les bombardements terroristes de damas "made in usa"

Syrie: exécutions sommaires massives de prisonniers de guerre par les terroristes islamistes 

Les terroristes islamistes de l'otan massacrent les forces du régime / amateur video shows syria…

Terrorisme : yves bonnet, ex-patron de la dst, met en cause le qatar et l'arabie saoudite + dossier

En syrie, les auteurs d’atrocités sont les "opposants" (terroristes) armés par l'étranger

Syrie: attentat terroriste contre une chaîne de télévision par un commando à la solde des etats-unis

Obama embraces bush's “war on terror” policy without naming it so

Homs: les massacres ont été perpétrés par les groupes terroristes à la solde de l'occident (+ vidéo)

« des terroristes islamistes opèrent en syrie »

Iran: les usa entraînent des groupes terroristes pour créer le chaos

Source de la photo: http://www.jolpress.com

 

http://www.internationalnews.fr/article-terroristes-tchetchenes-en-syrie-video--119824316.html

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